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 Prémisse de mon book

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sheyrem le libre penseur
Foteur daurtografe an erbeu
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sheyrem le libre penseur


Nombre de messages : 1943
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MessageSujet: Prémisse de mon book   Prémisse de mon book Icon_minitimeMer 13 Mai - 17:23

Voila ceci est la préface, disons une thèse de ma part généraliste. Lisez ou lisez pas, je vous la mets et dites moi. Biz:

La vision « sans rides » du contexte économico-social mondial actuel

Que voyons nous ? A quelle déroute sommes nous face ? Pourquoi ces mouvements contestataires de plus en plus radicaux apparaissent et semblent être soutenus par une opinion public qui tend a l’extrémisme ? Pourquoi même, les milieux sociaux mêmes plutôt élevés semblent en pleine métamorphose ? Le gouvernement est-il dans l’erreur ? Que faut-il faire ? Merde, et-on en crise ?

A l’heure de l’échec du capitalisme et du dévoilement de ses limites, la corrélation entre les problèmes sociaux et économique et en définitive politique n’aura jamais était si forte. Ne pas être d’accord avec un système qui a perdu est logique, on pourrait pour illustrer transformer à l’ironie une maxime connue en disant « On change pas une équipe qui perd ». Voyons nos « chefs » je vise ceux qui tiennent notre belle économie, disant plus clairement ceux qui la gèrent c’est-à-dire banquiers, investisseurs, créanciers, le gratin de la mondialisation (et de ca déroute), ne semble certainement pas motiver pour changer le système financier pourtant fébrile.
Je n’ai pas parlé des politiciens remarquerez-vous, en effet, ces derniers pratiquent un protectionnisme pas vraiment logique (nous y reviendrons par la suite) pour protéger leurs économies nationales, normal après les injections financières dans les banques et les entreprises des gouvernements, ces derniers ne souhaitent pas voir cet argent partir dans des capitaux étrangers (ou, (pour la touche d’humour), dans les stock-options et autres bonus farfelus de nos patrons et banquiers (encore eux !!!)). Oui, les politiciens ne montrent pas une réel envi de retour à ce « pro libéralisme », normal en même temps cela irait a l’encontre de l’opinion public or, qui vote, de la un rapprochement est très rapide mais le fond y est !

Revenons a nos moutons, dans ce prélude il me semblait logique de présenter et de donner un aperçu des problème sociaux et concordance avec les problèmes économiques. Effectivement, « l’armée industrielle de réserve » comme définissait Marcx a propos du chômage est en pleine augmentation, en fessant des métaphores, on pourrait dire que de plus en plus de bataillons se mettent en place. Les taux de chaque pays sont éloquents, la France par exemple a un taux proche de 8.6%. Nous sommes face a des problèmes qui s’additionnent, on nous parlé de travailleurs pauvres, dans la conjoncture actuelle et avec les plans de licenciements des entreprises (pour la raison qu’elles manquent de ressources financières, voyons les parachutes dorés coûtes chers), ces même travailleurs pourraient presque s’estimer heureux. En même temps nous avons du mal à comprendre leur mécontentement, ils travaillent des journées entières mais n’ont pas assez de pouvoir d’achat pour vivre, c’est scandaleux de les voir se plaindre. Mais pour sortir de l’ironie qui ma séduite afin d’être plus poignant, il faut se révolter sert, mais la manière utilisé n’est pas la bonne. Une grève poignarde l’entreprise préalablement en difficulté, et les grèves ne respectent trop souvent pas ceux qui veulent continuer à travailler pour qu’elles soit un moyen valable de revendication. Seulement, le problème est là ! Nous y arrivons, les populations se sentent accablées.
En France le SMIC est a 1100€ donc la majorité de la population a cette somme pour revenus, et ce montant est trop faible lorsqu’il est mis en corrélation avec le prix des biens et des services. L’état Français est pourtant un exemple social pour le monde entier, mais clairement pas un exemple de prix bas. L’inflation engendrée par la crise a contribué à encore plus affaiblir les bas salaires. Il est donc logique qu’un ménage descende dans la rue lorsque son revenu est de 1100€, que son loyer lui coûte 700€, et que ses dépenses primaires (nourriture, déplacement divers obligatoires (essence pour aller au travail)) lui coûtes a peut prêt 200€. Dans ce cas précis se basant sur un ménage composé seulement d’un contribuable, imaginez si celui-ci désir contracter a divers forfaits (Internet, Téléphone,…), et si celui-ci doit rembourser des dettes, des emprunts, il ne peut se permettre aucun écart, aucune dépenses superflue n’est toléré avec de telles revenus. Nous nous sommes habitué à un train de vie spécifique à la France en effet. Un Congolais ne verrait aucune utilité à payer pour internet. Mais es notre faute, nous a ton pas pousser a la consommation? Néanmoins, les organismes syndicaux revendiques "protèges" et assurent l'interêt des employés. Ils réclament accompagné des organismes politiques de gauche des améliorations sociales, plus de pouvoir d'achat, plus de stabilité, moins de précarité, une forme de fléxisécurité a la norvégienne, en pronnant l'irrespect du patronnat. Seulement un sondage IPSOS d'avril 2009, présente que 89% du monde salarial s'estiment heureux de leur condition, de plus ces derniers disent apprécier leurs patron, et enfin pas besoins de sondage pour comprendre que ce n'est seulement qu'une minorité du monde patronnal qui on véhiculé cette image, 1% des patrons sont peut-etre des ordures et c'est ceux ci que l'on retient. Au même titre ces grèves et ses mouvements sociaux ne sont-ils pas mené seulement par une minorité frustrée qui arrive a bloqué le pays comme en Corse avec les indépendantistes ? C’est ceux a quoi ce livre s’attaque ! Il s’attaque pas seulement a de l’économie ou de la sociologie mais à la vie. Rien de philosophique. Purement économique et purement social.



Bon j'admet le coté un peut péteu et les fautes d'orthographe mais j'ai fait ca en 1h, 1h et demi dans le train de vendredi. Biz
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