--- RICARD ---

Après quelques recherches, je pense avoir trouvé l'objet ultime Ricard.

Il s'agit du Mètre Bouée Ricard, et qui ne coûte que 22€.



Je continue mes recherches...


PS : Un certain Delfin vient de s'inscrire

J'ai une copine qui prend ses clopes ici, il faut prendre minimum 2 cartouches mais c'est tout de même super intéressant.
Je vais m'en faire péter 2.

http://www.e-pas1.net/

Je suis aller au resto à midi, et ayant tellement exprimé mon amour pour le Ricard (en parlant hein...Je n'en ai pas bu un seul), le patron m'a filer ceci.



CA TUUUEEEE

Le monto devrait être sponso par Ricard.



EDIT

PUTINNNNN LE HAMMAC RICARD..... ULTIME.





ET LE TAPIS DE JEU ET LES CARTES RICARD.

Voilà un homme bien :

ahah enorme

Voici la suite en texte, car j'ai pas envie de faire 50 screens.

Citation :

A cette liesse bon enfant faisait cependant écho des quolibets orchestrés par le groupement contre la maltraitance des patissons, scandant à tue-tête : "de Roubin pésuguet, ta cousine en tiags à Malpassé !". Il faut dire que le grand projet que Jean de Roubin nourrit pour Marseille (à savoir redécorer l'ensemble du massif des calanques avec des pins en argile cuite pour lutter contre les incendies) a quelques détracteurs. Mais la présence d'esprits chagrins, insensibles à la puissance esthétique du concept, ne saurait ni arrêter la marche triomphale de Jean de Roubin vers le succès, ni endiguer la reconnaissance éblouie des marseillais à son égard.
Après avoir salué, comme il se doit, ses concitoyens, Jean de Roubin a été longuement reçu par Monsieur Jean-Claude Gaudin, Maire de Marseille, qui s'était déplacé pour l'accueillir. Il a ensuite rencontré les représentants de différentes corporations massaliotes et les notables de l'industrie. Devant un parterre attentif et sur une maquette entièrement en Anisette, il a pu faire la démonstration du réalisme de son grandissime projet. On murmure déjà dans les milieux autorisés que l'Etat pourrait mettre la main à la poche à hauteur de 3 millions d'euros afin de développer le partenariat avec l’industrie locale. Alain Souchon, ami de longue date et invité privilégié de la démonstration, a d’ailleurs affirmé aux journalistes présents : Ce de Roubin, c’est pas un cacou, et il en a dans le teston !, une analyse frappée au coin du bon sens et qui se passe de commentaires.
Voilà donc le nouveau projet de Jean de Roubin pour Marseille porté sur les fonds baptismaux et voué à une franche réussite avec l'assentiment de tous ... ou presque. Tout semble réussir à ce mécène de génie. Pourtant, qu'on ne s'y trompe pas. : la vie de Jean de Roubin n'a pas toujours été rose, loin s'en faut.
Né à Marseille en 1986, le petit Jean a été élevé à la dure au sein d'une famille de 3 enfants établie dans le quartier de Montolivet. Après avoir quitté l'école à 12, il commence sa carrière en bas de l'échelle aux Etablissements castellon, une maison réputée sur la place de Marseille pour la fabrication des binouzes. La paye n'est pas mirobolante, mais les 0.70 francs gagnés chaque semaine (il s'agit encore de francs à l'époque !) permettent tout de même à la famille de joindre les deux bouts. A l'occasion d'un livraison effectuée dans un hôtel du port, il est remarqué par hasard par l'Algérino qui lui offre son appui. "La rencontre avec l'Algérino fut ma première vrai chance" confiera un jour Jean de Roubin, les larmes aux yeux, à notre journal "Marseille L'Abdo" lors d'une interview exclusive. Décidé à saisir toutes les opportunités pour échapper à sa condition précaire, Jean suit l'Algérino à Paris (où tout se décide toujours) en tant que secrétaire particulier. La presse à scandale, soupçonnant une sulfureuse histoire de moeurs qui ne fut jamais réellement démontrée, fit un temps ses choux gras de cet épisode mouvementé de la vie des deux protagonistes. Toujours est-il que sous son impulsion, il s'initie à un nouveau passe-temps, Les Lyonnais. Ce détail, il ne le sait pas encore, influera durablement sur sa vie future. Jean découvre aussi la vie parisienne, fréquentant assidûment les lieux à la mode de la Capitale. Il y fera notamment la connaissance de Alain Souchon qui deviendra son ami intime et l'introduira dans le cercle très fermé des brasseurs d'idées novatrices.
Mais déjà le jeune Jean caresse d'autres rêves. Sur un coup de tête, il plaque tout et entame un long périple solitaire à travers le monde qui le mène jusqu'en Espagne. Les temps sont durs. Jean vit d'expédients et de petits boulots. il exerce même un temps un métier ingrat (Etudiant), tant sa misère est grande. Seul et sans le sou, rongé par le désespoir, la chance va venir frapper encore une fois à sa porte, alors qu'il ne l'attend plus. Un jour que dans les bouges de , il cherche à faire passer sa passion pour Les Lyonnais à un instituteur lapon, il fait l'acquisition auprès de lui d'une bouteille de Cassis pour la modeste somme de 0.70 euros. L'objet est réellement magnifique. C’est la révélation ! Avec l'aide d'un Boucher qui lui apporte les capitaux nécessaires, il crée sa première entreprise "bouteille Inc." dans une caserne désaffectée, embauche ses premiers ouvriers et en l'espace de quelques mois devient le leader de la fabrication des bouteilles en Espagne. Le slogan de la société ("Les bouteilles Marseillaises, les seules, les vraies !"), placardé au Stade Vélodrome lors des matchs de l'OM, s'imprègne durablement dans les esprits. Et c'est sur la base de cette bouteille qu'il imagine bientôt sa célèbre machine à furer les patissons, laquelle finira d'asseoir sa notoriété et sa fortune. Couronné par le grand prix de la ville de , puis dans de nombreuses foires régionales, nationales et internationales, l'appareil révolutionnaire se vend comme des petits pains. La gloire est en marche. Rien ne l'arrêtera plus !
Depuis, Jean de Roubin a fait du chemin. Président de nombreuses sociétés internationales et actionnaire important de plusieurs groupes financiers, il est devenu un personnage incontournable du PEM (paysage économique mondial). Son retour à Marseille où il entend largement faire bénéficier les habitants de son argent et de ses idées novatrices laisse présager un souffle nouveau autant pour l'économie locale que pour l'art marseillais. Un souffle susceptible de porter de nouveau la cité massaliote vers les plus hauts sommets. Ne boudons donc pas notre joie pour le retour au pays, les poches pleines de billets, de l'enfant prodigue et crions à pleine voix avec nos concitoyens :

"La terre d'accueil des peuples du soleil te salue, Jean de Roubin!
Bienvenue à la maison !"

NB : Le livre de Jean de Roubin, "Mes idées neuves pour Marseille", est en vente dans toutes les bonnes librairies au prix de 3 euros.

Voici ma dernière acquisition lors d'une soirée.




PS : Mal à la tête et cours cet après midi, (mais bon j'ai mon coussin de chaise Ricard donc tout va bien).

Ricard est sur le point de racheter absolut vodka, rien ne les arrête !

WU-KILLAH a écrit:

Ricard est sur le point de racheter absolut vodka, rien ne les arrête !

et ils feraient mieux de revendre smirnoff qui entache leur nom...

WU-KILLAH a écrit:

Ricard est sur le point de racheter absolut vodka, rien ne les arrête !

Je vois que tu suis l'actu...ça tue

j'ai un belle plaque en tole ricard qui fait 2m sur 1m qui irai vachement bien dans ta collection...

I WANNNN ITTT

shiriu a écrit:

I WANNNN ITTT

et elle tue vraiment....

Voilà ce que c'est que d'être un VIP Ricard :

trop fort!! raconte...

Non en fait sur le site de Ricard, tu peux rentrer ton adresse afin que 3 fois par an tu reçoives un petit livret avec les nouveautés, l'histoire de Ricard, des petits article sur Ricard, et surtout des réductions sur les produits Ricard. Tout cela adressé à ton nom bien evidemment

Petite news Ricard pour fêter l'année 2008.
Je viens de recevoir 2 jolies affiches en édition limitée uniquement pour les VIP. Bien sympa...Et toujours les petites réductions à mon nom héhé.

Enorme ca tue tout !!!

Message en directe live du sacrée coeur... cour de GSI lol